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Approche

L’axe Tellurique – Quantique

Entre corps et conscience

Il arrive que le corps soit présent, mais que la conscience soit ailleurs.

Il arrive aussi que la conscience soit très active, tandis que le corps reste en retrait, tendu ou absent.

Mon travail part de cette observation simple, souvent silencieuse, toujours singulière.

Un axe d’expérience

Dans ma pratique, j’utilise les termes tellurique et quantique comme des repères de travail. Ils ne renvoient ni à une croyance, ni à un modèle scientifique, ni à une vision spirituelle particulière.

Ils me servent à nommer deux pôles d’expérience, entre lesquels la relation peut parfois se distendre, se figer ou se déséquilibrer.

Cet axe relie le corps vécu et la conscience vécue.

Le pôle tellurique

Habiter le corps

Le pôle tellurique concerne la présence incarnée.

Il parle du corps tel qu’il est ressenti : le poids, le contact avec le sol, la respiration, les zones de tension ou de détente.

Habiter le corps, ce n’est pas le contrôler ni le corriger. C’est le sentir, l’écouter, lui laisser sa place.

Lorsque ce pôle est soutenu, le corps peut redevenir un lieu sûr, un point d’appui, un espace habitable.

Le pôle quantique

Ouvrir la conscience

Le pôle quantique renvoie à la dimension de la conscience.

Il concerne l’attention, la perception, l’espace intérieur à partir duquel l’expérience est vécue.

Il ne s’agit pas d’atteindre un état particulier, ni de provoquer une expansion.

Il s’agit plutôt d’une disponibilité : celle de percevoir ce qui est déjà là, sans le figer, sans le juger.

Lorsque ce pôle est soutenu, la conscience peut s’ouvrir, s’assouplir, laisser apparaître de nouvelles possibilités de perception.

Le travail sur l’axe

Laisser circuler

La séance se tient sur cet axe, entre corporalité et conscience.

Elle ne cherche pas à produire un effet, ni à diriger un changement.

Elle offre un cadre de présence dans lequel une circulation plus fluide peut se rétablir entre le corps et la conscience.

Lorsque cette relation se réorganise, des ajustements peuvent apparaître : dans la respiration, dans la posture, dans le ressenti, dans la clarté intérieure.

Parfois subtilement. Parfois plus nettement.

Toujours à partir du rythme propre à la personne.

Une posture d’accompagnement

Ce travail ne repose sur aucune croyance et ne se substitue pas à un suivi médical ou thérapeutique.

La personne accompagnée reste pleinement actrice de son expérience.

Mon rôle est d’offrir un espace d’écoute, de présence et de respect, dans lequel le vivant peut retrouver sa propre capacité d’ajustement.

Note

Ce document n’a pas pour vocation d’expliquer ce que vous devriez ressentir. Il décrit un cadre de travail et une posture. L’expérience, elle, reste toujours singulière.